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Ce jeune homme a le parfait mélange entre le folk intelligent et sensible de Bob Dylan et Billy Bragg, l’énergie punk brute, une lourde influence country traditionnel et le look pretty boy des boys bands.

Cela lui assure d’être intéressant autant chez les jeunes filles qui le trouvent mignon et tellement touchant (une grande brune pleurait à chaudes larmes à côté de moi) qu’avec le public plus mature qui reconnaît son talent et apprécie son clin d’œil au géant Neil Young. Le rappel : My My Hey Hey.

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Jake Bugg n’est pas qu’un feu de paille. Bien qu’il n’ait qu’un répertoire de deux albums (lancés coup sur coup en 2012 et 2013), il a tenu en haleine un Métropolis bondé toute la soirée sans aucun problème.

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Certains moments, les couples s’enlaçaient, à d’autres, les poings étaient levés au ciel et les pieds sautaient sur place, plus loin, un jeune couple s’embrasse tendrement. D’autres sont sur le party et commandent shooters et bières pour s’éclater lors que Bugg empoigne sa guitare électrique et fait lever la salle.

Aucun temps mort. Aucune chanson faible même s’il doit les avoir toutes jouées. Impressionnant.

Voyez d’autres photos de Jake Bugg sur la fan page Facebook d’enMusique.ca (cliquez ici). Elles sont signées par Sébastien Crête.

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About The Author

Mélomane invétéré plongeant dans tous les genres et époques, Nicolas Pelletier a publié 6 000 critiques de disques et concerts depuis 1991, dont 1100 chez emoragei magazine et 600 sur enMusique.ca, dont il a également été le rédacteur en chef de 2009 à 2014. Il publie "Les perles rares et grands crus de la musique" en 2013, lance le site RREVERB en 2014, et devient stratège numérique des radios de Bell Média en 2015, participant au lancement de la marque iHeartRadio au Canada en 2016. Il dirige maintenant la stratégie numérique d'ICI Musique, la radio musicale de Radio-Canada.