THE HIGH DIALS: faire revivre la new wave pop romantique Nicolas Pelletier 2014/05/24 Albums, Genres The High Dials, un band montréalais, va se faire remarquer avec ce nouvel EP de trois chansons dont le style rappelle certains moments de la pop romantique des années 80, s’il peut seulement rejoindre les fans de cette musique un peu rétro. Leur rock, que je qualifierais d’alternatif, ressemble à celui de plusieurs de ces bons petits groupes que l’on croise dans les festivals de découverte de type CMW ou Pop Montréal. Difficile de mettre le doigt sur les éléments qui feront des High Dials un nom plus connu, mais disons que les guitares d’inspiration The Cure ou The Smiths sur Echoes and Empty Rooms (la meilleure des trois) ne nuiront certainement pas. L’ambiance plus sombre de Evil Twins rappelle certains moments de Gorillaz. The High Dials n’en est pas à ses débuts : on les entend dès 2003 avec l’album « A New Demotion » qui plait à Little Steven Van Zandt (du band de Bruce Springsteen) qui le fait jouer abondamment à son émission de radio. Trois albums et un EP plus tard, ils ont fait tous les festivals, joué sur toutes les scènes, en première partie de Sloan ou d’Echo and the Bunnymen (à SXSW en 2009). Des vieux pros qui ont du métier. Ce EP de trois chansons n’est pas un chef d’œuvre, mais est assez fort pour qu’on suive ce trio de près. THE HIGH DIALS Yestergraves EP (indépendant, 2013) -Genre: new wave pop romantique -Dans le même trip que Badly Drawn Boy, Eels, Echo and the Bunnymen Lien vers l’achat en ligne (BandCamp) Lien vers la page Facebook du groupe Réagissez à cet article / Comment this article commentaires / comments