Le trio autrichien mené par le trompettiste Mario Rom propose un jazz accessible, un peu blues, parfait pour les scènes extérieures, saupoudré de clins d’oeil humoristiques! À un moment donné, dans une intro, Rom, le contrebassiste Lukas Kranzelbinder et le batteur Herbert Pirker lançaient des “Hans!” à l’unisson en voix de tête, sans broncher! Rom et Kranzelbinder En plus des morceaux de leur dernier album, tout frais sorti il y a une semaine et initulé “Truth is Easy to Understand”, Interzone a aussi joué un de leurs “vieux” morceaux, Milking of the Wagwams, inspiré par un passage dans un bouquin de William S. Burroughs où il révélait qu’une substance hautement hallucinogène pouvait être extraite de minuscules martiens en les trayant. Ben oui, fous de même! La belle scène de l’espace Club Jazz du Casino MARIO ROM’S INTERZONE jouait le vendredi 30 juin 2017, dans le cadre du Festival International de Jazz de Montréal. Retour à la section dédiée au Festival de Jazz photos: Nico Pelletier, tous droits réservés, 2017 Réagissez à cet article / Comment this article commentaires / comments